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lundi 8 janvier 2018
Recherche observateurs pour suivis mortalité
Dans le cadre d'un travail d'analyse des donnés de mortalité routière avec le Centre d'Ecologie Fonctionelle et Evolutive de Montpellier, nous recherchons des observateurs prêts à suivre des tronçons tests pour évaluer différents paramètres liés à la collecte des données de mortalité.
Ces observateurs suivront un ou plusieurs tronçons échantillons, en voiture, 5 jours consécutifs à plusieurs périodes de l'année (janvier, mars, mai, août et octobre a priori).
L'objectif n'est pas de détecter un maximum de cadavres mais de faire un suivi en conditions habituelles d'observation (en voiture, vélo, moto... selon vos habitudes).
Un trajet domicile-travail peut parfaitement être pris comme tronçon échantillon. L'objectif est d'avoir la diversité la plus importante possible dans les tronçons routiers étudiés (petite et grande routes, autoroutes...). Afin d'avoir des informations les plus précises possibles, il faudrait plusieurs tronçons par département.
Voici le résultat connu à ce jour de la nidification de l’Effraie des clochers pour l’Auvergne :
Nb participants: 20
Nb sites suivis: 26
Nb nichées observées: 10
Nb jeunes à l'envol: 30
Nb jeunes à l'envol par nichée: 3
Comme tous les ans les retours des suivis sont difficiles et ce sont toujours les deux même départements (Cantal et Haute-Loire) qui ne jouent pas le jeu. Je viens d’apprendre en fin d’année que plus de 15 nichoirs avaient été installés dans ce dernier département mais sans personne pour les suivis !!! Quant au Cantal… aucune réponse, à croire qu’il n’y a plus d’ornitho…
Revenons donc dans le Puy-de-Dôme et l’Allier pourvoyeurs de données depuis le début. Cette année aucun site suivi n’a eu de seconde nichée observées. Pour les 33 sites connus 26 on été contrôlés pour 10 occupés qui nous ont fournis 30 jeunes à l’envol, soit une moyenne de 3 par nichée (des nichées qui vont de 3 à 6 petits).
Je remercie les 20 participants qui m’ont fourni ces informations en faveur de l’Effraie.
EuroBirdPortal : visualiser la migration des oiseaux comme jamais !
L'EuroBirdPortal progresse à pas de géant ! Ce portail, qui permet la visualisation des variations de répartition de 105 espèces migratrices, a étendu sa couverture aux pays des Balkans, à la Hongrie, la Turquie, l'Estonie ainsi qu'à Chypre et Israël.
Soutenu par un programme LIFE de l'Union Européenne, l'EuroBirdPortal conforte son statut de plus grande et plus dynamique enquête de science participative européenne.
Cette nouvelle version de l'outil de visualisation s'est enrichie de plus de 40 millions de données en 2016 et présente désormais des cartes animées pour 105 espèces migratrices et 7 années de suivi. Elle dispose de nombreuses nouvelles fonctionnalités (zoom, nouveaux modes de représentation...) et d'un nouveau design.
L'EuroBirdPortal démontre tout l'intérêt qu'il y a à transmettre et partager ses propres observations avec une communauté forte de plusieurs dizaines de milliers d'autres observateurs et à quel point la collaboration entre les portails nationaux, comme Faune-France, enrichit notre connaissance de la biodiversité.
Grace à vos contributions, nous disposons aujourd'hui des données nécessaires à la compréhension des changements de comportement migratoire des oiseaux, comme l'émergence d'une nouvelle voie migratoire empruntée par les Grues cendrées dans le sud de l'Europe (passage au sud des Alpes et le long de la côte méditerranéenne française). Il est par ailleurs possible aujourd'hui d'évaluer l'influence des épisodes météorologiques et des changements climatiques sur le déplacement des oiseaux.
Les partenaires de Faune-France, portail national qui contribuent à l'EuroBirdPortal, sont heureux de vous inviter à découvrir ce nouvel outil de visualisation et à explorer toutes ses fonctionnalités. Grand merci à tous nos contributeurs qui participent activement à l'émergence de projets aussi remarquables que l'EuroBirdPortal.
Un article intéressant à lire sur le Blog de Gérard Guillot... et tout à fait en rapport avec nos réflexions actuelles sur la manière d'observer pour permettre une meilleure exploitation de nos millions de données.
Bonne lecture !
posté par François Guelin
mercredi 6 décembre 2017
LE COIN DES BRANCHES : synthèse de novembre 2017 (n° 180)
Retrouvez la chronique ornithologique de novembre 2017 en téléchargement ci dessous.
Les scientifiques d'une trentaine de pays ont récemment planché sur la question de savoir quelle est la méthode de collecte de données la plus efficace pour promouvoir la connaissance et la protection des oiseaux et, plus largement, de la biodiversité.
La liste fait l’unanimité
Scientifiques, statisticiens, cartographes et naturalistes sont unanimes. Si toutes les données ont un intérêt, les plus intéressantes sont, de très loin, celles collectées sous forme de listes, et idéalement de listes complètes. On entend par là, un inventaire mené sur un site, durant un pas de temps connu, listant et quantifiant toutes les espèces détectées à vue ou à l’oreille.
Je ne reconnais pas toutes les espèces, est-ce un problème ?
Évidemment, les listes des ornithologues débutants ne seront probablement pas aussi complètes que celles des naturalistes les plus expérimentés. Ce n’est pas grave, il existe des modèles pour corriger ces biais. Au final, une liste de débutant est bien plus exploitable scientifiquement qu’une longue série de données saisies isolément par un spécialiste.
Quelle durée pour mes listes ?
Peu importe. Idéalement toutefois, les listes doivent au moins durer 5 minutes et ne pas excéder deux heures. Plus courtes, elles seront très incomplètes, plus longues, l’observateur perdra beaucoup d’attention et la pression d’observation se diluera. Si vous restez très longtemps sur un site d’observation, il peut être plus intéressant de faire plusieurs séries de liste de 10 minutes, plutôt qu’une longue liste s’étalant sur toute une journée par exemple.
Pourquoi les listes sont-elles si intéressantes ?
Les listes complètes sont extrêmement intéressantes car elles permettent d’évaluer la fréquence de détection des espèces selon la date et le lieu. Cela permet notamment de suivre l’évolution de la date d’arrivée et de départ des espèces migratrices, mais aussi d’évaluer les fluctuations de détectabilité de certaines espèces sédentaires au cours de l’année. Les listes complètes facilitent par ailleurs les calculs de pression d’observation, la modélisation de la répartition spatiale des espèces et l’évaluation de leurs populations.
Comment saisir mes données par liste ?
Sur l’application mobile NaturaList, il suffit de cliquer sur l’icone en haut à droite de l’écran. Idéalement, il convient alors de positionner et dénombrer chaque espèce autour de vous. Quand vous ne détectez plus rien, il suffit de stopper la saisie en cliquant sur le carré jaune en haut à droite. On vous demande alors de confirmer que vous avez noté toutes les espèces que vous êtes en capacité d’identifier.
Sur l’ordinateur, il faut pointer le curseur sur un lieu-dit et choisir « Remplir un formulaire journalier sur ce lieu-dit ».
La France, très en retard sur la saisie par liste !
La quasi-totalité des données ornithologiques sont saisie par liste en Amérique, le taux de couverture des listes est très impressionnant en Grande-Bretagne, en Suisse ou en Allemagne. La France est très en retrait sur ce sujet. Il convient donc que nous fassions collectivement un effort et changions de façon de collecter nos données pour qu’elles contribuent plus efficacement aux suivis et atlas locaux, nationaux et internationaux.
N'hésitez donc pas à relire les épisodes précédents !
Photo: Grand Duc en vol - Th.Reijs
posté par François Guelin
mercredi 22 novembre 2017
Conférence sur la Pie-grièche grise
Vendredi 24 novembre, la LPO Auvergne et le groupe local d'Ambert présentent une conférence sur la Pie-grièche grise, en collaboration avec le Parc Naturel Régional Livradois-Forez.
Nous avons besoin de vous pour identifier les points noirs des réseaux de transports sur la mortalité des animaux !
Dans le cadre d’un travail à l’échelle de la région AuRA visant à identifier les points noirs des réseaux de transports sur la mortalité des animaux, nous avons besoin d’exploiter l’ensemble des données de mortalité transmises sur Faune-Auvergne. Pour cela, il est nécessaire d’exporter les données contenant le « module mortalité » renseigné avec « collision avec un moyen de transport ».
Malheureusement, nous nous sommes aperçus que près de la moitié des données de mortalité (lorsqu’on recherche via les remarques renseignant "mort", "écrasé", "percuté", "tué", "buté", "carpette", "galette", "collision routière", etc) ne contiennent pas ce module mortalité.
Ainsi une proportion considérable de données n’est pas ou trop difficilement exploitable, ce qui est dommage puisque vous avez saisi toutes ces données et qu’elles sont d’un grand intérêt.
Aussi nous vous sollicitons afin que vous complétiez toutes vos données de mortalité, au moins dans un premier temps celles liées à des collisions avec des moyens de transport (sur les routes le plus souvent).
Ce travail porte sur l’ensemble des vertébrés : oiseaux, mammifères, reptiles et amphibiens. Nous comptons vraiment sur vous pour compléter toutes ces données dans les 10 jours à venir. Mais aussi pour, à l’avenir, ne plus omettre de renseigner le module mortalité dans le cas d’observation d’animaux morts.
Pour vous guider et vous aider à compléter vos données rapidement, retrouvez ce petit tutoriel.
Un grand merci à toutes et tous pour ce travail, certes un peu fastidieux, mais indispensable à la valorisation des données dans un but de conservation !
Ligue pour la Protection des Oiseaux délégation Auvergne – contact : faune-auvergne(arrobase)orange.fr
VisioNature est un outil développé avec la collaboration du réseau LPO. Grâce aux technologies Internet,
débutants, amateurs et professionnels naturalistes, peuvent partager en temps réel leur découverte et ainsi
améliorer la connaissance et la protection de la faune